Trauma and violence-informed movement

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Le Health and Wellness Equity Research Group (en anglais seulement) de l’Université Carleton dirige un projet communautaire qui consiste à élaborer, à mettre en œuvre et à évaluer de la programmation d’activité physique tenant compte des traumatismes et de la violence. Ces programmes sont offerts dans 3 sites géographiquement et culturellement diversifiés à Ottawa et à Toronto, en Ontario, ainsi qu’à Vancouver, en Colombie-Britannique. Le projet facilitera l’accès à l’activité physique tenant compte des traumatismes et de la violence, créera des occasions de tisser des liens sociaux et de renforcer la cohésion communautaire en plus d’améliorer la santé et le bien-être globaux des femmes et des enfants qui sont des survivants de la violence familiale ou qui en subisse

Website: https://carleton.ca/tvimovement/

LE PROJET TVI MOVEMENT PRODUIT UN COURS EN LIGNE : Modules d’activité physique tenant compte des traumatismes et de la violence

Découvrez cette série de modules de formation interactifs sur l’activité physique tenant compte des
traumatismes (APTCT), dirigée par l’équipe du projet Trauma and Violence-Informed Movement. Explorez des concepts clés comme la violence fondée sur le sexe et les effets physiologiques des traumatismes au moyen de discussions dynamiques et d’études de cas réels. Que vous soyez novice en matière de pratiques tenant compte des traumatismes ou que vous cherchiez à améliorer des initiatives existantes, vous découvrirez des stratégies réalisables pour créer des environnements inclusifs et autonomisants grâce à l’activité physique. Le yoga, les groupes de marche, les programmes de boxe et les initiatives d’haltérophilie sont des exemples pratiques de programmes qui tiennent compte des traumatismes et de la violence. 

Modules de formation APTCT - Groupe de recherche sur l’équité en matière de santé et de bien-être (carleton.ca)[en anglais]

Language tenant compte des traumatismes et de la violence (sous-titres français)

 

Membres de la communauté de pratique:

Francine Darroch  

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La Dre Francine Darroch est professeure adjointe au Département des sciences de la santé de l’Université Carleton. Elle est chercheuse interdisciplinaire qui possède une expertise dans les domaines de la recherche qualitative sur la santé, de la santé publique, des inégalités en matière de grossesse et d’activité physique, de la santé maternelle, et des intersections du racisme, de la violence fondée sur le sexe, de la toxicomanie, des traumatismes et de la violence structurelle. En tant que fondatrice du Health and Wellness Equity Research Group à l’Université Carleton, la Dre Darroch dirige une recherche participative féministe qui met l’accent sur le recours à l’activité physique pour améliorer la qualité de vie des femmes qui s’identifient comme telles et de leurs familles. Son travail actuel vise à éliminer les inégalités en matière d’activité physique pour les femmes enceintes, les parents et les familles au moyen d’approches de l’activité physique qui tiennent compte des traumatismes et de la violence. Bien que la recherche de la Dre Darroch soit principalement axée sur les femmes et les enfants qui s’identifient comme tels, son travail s’étend également à l’exploration et à la promotion de programmes sensibles au genre pour les pères vivant dans des situations de marginalisation. Le principal objectif global de la Dre Darroch est de cocréer des programmes et des ressources pour accroître l’accès à l’activité physique, améliorer la cohésion sociale et les liens avec la communauté, et améliorer la santé globale en s’attaquant aux obstacles individuels, systémiques et structurels à la santé et au bien-être.

Dans l’ensemble, les efforts de recherche multidimensionnels de la Dre Darroch reflètent son engagement passionné à l’égard de la justice sociale, de l’équité en santé et de la remise en question des différences de pouvoir dans les pratiques de recherche en tant que défenseure des populations qui subissent une marginalisation systémique.

Lyndsay Hayhurst

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Lyndsay Hayhurst est titulaire d’une chaire de recherche de niveau 2 de l’Université York en « sport, genre et développement et recherche participative numérique », et directrice du « DREAMING Sport Lab » (Digital participatory Research in Equity, Access, Mobility, Innovation aNd Gender in Sport Lab). Elle est professeure agrégée à l’École de kinésiologie et des sciences de la santé de l’Université York à Toronto, au Canada.

Ses intérêts de recherche comprennent le sport pour le développement et la paix (SDP); la violence fondée sur le sexe et la santé sexuelle et reproductive dans/par le SDP; la recherche participative numérique; les approches du SDP tenant compte des traumatismes et de la violence; les études culturelles de la jeunesse féminine; la théorie postcoloniale féministe; la gouvernance mondiale, les relations internationales et la responsabilité sociale des entreprises; le SDP dans les communautés autochtones; et les liens entre le genre, le sport et l’environnement.

Elle est coauteure (avec Holly Thorpe et Megan Chawansky) de Sport, Gender and Development : Intersections, Innovations and Future Trajectories [Sport, genre et développement : intersections, innovations et futures trajectoires], et corédactrice (avec Tess Kay et Megan Chawansky) de Beyond Sport for Development and Peace : Transnational perspectives on theory, policy and practice [Au-delà du sport pour le développement et la paix : perspectives transnationales sur la théorie, la politique et la pratique]. Ses publications ont paru dans Women’s Studies International Forum; Gender, Place & Culture; Third World Quarterly et Sociology of Sport Journal. Auparavant, elle a travaillé pour le Programme des Nations Unies pour le développement et Right to Play.

Gabby Gonzalez Montaner 

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Gabby Gonzalez Montaner est gestionnaire de recherche au Health and Wellness Equity Research Group de l’Université Carleton. Elle est titulaire d’un baccalauréat ès arts en études de la santé et d’une maîtrise en santé publique. Motivée par son travail antérieur dans le cadre de programmes communautaires de logement, de santé mentale et d’activité physique tenant compte des traumatismes, ainsi que par sa propre passion et son besoin d’activité physique et de mouvement, elle cherche à améliorer l’accès aux programmes d’activité physique tenant compte des traumatismes et de la violence et leur disponibilité pour les femmes qui s’identifient comme telles. À l’heure actuelle, elle appuie le projet financé par l’Agence de la santé publique du Canada du groupe de recherche intitulé Avoir recours à la pratique d'activité physique qui tient compte des traumatismes et de la violence pour soutenir les survivants de la violence familiale : une approche participative communautaire.